En 2005, Kevin Kate fait du développement soutenable de logiciels le thème et objectif central de son livre “Sustainable Software Development”. Même si le mot “sustainable” a aujourd’hui une connotation plus “verte”, je trouve intéressant de revenir en arrière dans l’histoire, pour retrouver le sens d’une valeur fondamentale de l’agilité.
Préfacé par Jim Highsmith et sorti dans la collection Agile Software Development d’Alistair Cockburn & Jim Highsmith et noté 5 étoiles sur Amazone, je ne doute pas de l’intérêt de cette lecture dans l’absolu, mais j’ai l’idée de faire le pont ou comparaison avec ce que nous entendons aujourd’hui par “sustainability”.
J’ai choisi de consulter l’histoire de cette notion de “sustainability” dans le développement logiciel, pour voir si ses racines étaient toujours d’actualité, et si nous n’étions pas passé à côté de quelque chose ou carément à autre chose, à l’heure du Green IT et du numérique éthique ou responsable.
Sustainability dans la culture et littérature agiles Le Manifeste agile La première référence qui peut venir à l’esprit est le Manifeste agile et son 8ème principe:
Force est de constater qu’il existe de plus en plus de référentiels de pratiques d’écoconception numérique. S’ils ont en commun l’intention d’améliorer le numérique en général pour en limiter les impacts sociaux et environnementaux, ils ont chacun leurs spécificités d’approche, de périmètre et de praticité.
Le meilleur est donc … certainement celui qui vous permettra d’atteindre de meilleurs résultats dans votre contexte.
Aussi le référentiel ne fait pas tout. La démarche d’écoconception est prépondérante.