Coaching
Cette section regroupe quelques réflexions personnelles sur le coaching. Pour préciser la perspective avec laquelle j’aborde le coaching dans ce blog, vous pouvez éventuellement commencer par un à propos de coaching
Cette section regroupe quelques réflexions personnelles sur le coaching. Pour préciser la perspective avec laquelle j’aborde le coaching dans ce blog, vous pouvez éventuellement commencer par un à propos de coaching
Exploration de l'ambition morale en coaching, inspirée par Rutger Bregman
L’ambition est comprise de différentes façons, dont la plus caricaturale est celle d’une quête égoïste de pouvoir.
Pourtant, si on la dissocie des intentions et du jugement moral portées sur elles, il s’agirait plus généralement d’une force ou énergie qu’une personne ou un groupe de personnes investit au service d’une représentation du monde qu’elle ou il souhaite voir advenir ou perdurer.
Avoir de l’ambition sans intentions claires, c’est un peu comme une vision sans objectifs de résultats ou actions concrètes pour la réaliser. Des intentions sans ambition, sans énergie à y consacrer, restent des voeux pieux.
En séance d’analyse de pratiques entre coachs, le sujet est posé par un participant:
J’ai le sentiment que je parle trop, que je ne laisse pas suffisamment la parole à mon client.
S’en suit un échange passionné et riche des expériences de chacun. Le silence fait parler.
Il aura eu le mérite de mettre en évidence les avantages et les inconvénients d’un manque de silence, pour le coach et pour le client.
Début de réflexion sur les tensions à l’oeuvre à l’approche d’un moment crucial, ou ressenti comme tel par au moins un sujet.
Que faire de nos émotions ou sentiments divers quand on voit venir quelque chose qui cloche ?
En psychologie, ce cocktail a un nom : Ambivalence.
Sans être psychologue, nous pouvons réfléchir à plusieurs options.
Garder pour soi C’est une option tant que l’on n’en a pas trouvé de meilleure, ou que les circonstances n’ont pas suffisamment évolué pour que l’on soit appelé à changer de comportement.
En venant ici, vous vous attendez à apprendre quelque chose, sur le coaching, sur moi, et peut-être sur vous même. Même si l’interaction est limitée, je vous propose de répondre simplement à 2 questions:
Quelle définition du coaching recherchez-vous ?
Et quand vous l’aurez trouvée qu’adviendra-t-il ?
Ces deux questions sont aussi les questions que je me pose toujours de façon récurrrente, tant les réponses peuvent évoluer d’une situation à l’autre, et engendrer d’autres questions. Un point de départ possible pour répondre à la première, est de considérer le coaching comme une alliance entre deux personnes, le client et le coach, pour conscientiser et améliorer la façon dont le client perçoit sa situation y compris les moyens dont il dispose pour la faire évoluer.
L’expérience collaborateur dans une entreprise n’est pas qu’un sujet RH.
Chaque équipe a une grande part de responsabilité sur la qualité des relations entre ses membres.
Le Management 3.0 offre l’illustration suivante sur les différentes étapes d’un parcours collaborateur et fournit des clés pour les rendre les plus profitables possibles pour le collaborateur comme pour l’entreprise.

Je m’intéresse particulièrement aux mouvements dans l’équipe, au reteaming et en particulier à l’Onboarding (On/Off Boarding et Agile Boarding même combat).
Parler d’approche appréciative en respectant l’esprit serait la moindre des choses. Je vais tenter de m’y employer dans cet article en acceptant une part d’interprétation subjective des sources de mon expérience.
Dans la forme et dans le fond, l’approche se veut résolument positive, et il convient donc d’employer une formulation positive.
Il s’agit ainsi d’éviter la comparaison caricaturale avec d’autres approches que vous auriez pu mettre en oeuvre avec des résultats variables selon votre propre perception. Au lieu de cela, le principe fondamental est de reconnaître dans toutes ces expériences passées les bénéfices, les apports en terme de connaissances, de compétences, de capacités, de relations, etc…
La question de la culpabilité m’intéresse à plusieurs titres:
Comment ne pas entrer dans une escalade à l’intélorance juste afin de ne pas se sentir coupable d’être soi ?
Une perspective dans le langage du don
Cet article a été écrit et publié spontanément, pour partager une idée et réflexion en cours, incomplète et imparfaite, livrée sans souci de délit d’imposture…
Le syndrôme de l’imposteur traduit bien souvent un type de souffrance au travail, exprimée par exemple par le sentiment récurrent et durable de ne pas être à la hauteur des attentes d’un poste ou d’un rôle dans une organisation quelconque. Ce sentiment peut naître d’une peur naturelle à évoluer dans un nouveau contexte incertain, d’une retenue à dévoiler aux autres ses compétences/expériences auto-jugées pas suffisament pertinentes, du relevé des écarts entre ce qui est écrit (un CV, des attendus de fiche de porte) et ce que l’on sait vraiment faire… Cela peut occasionner une dissonance, un mensonge intérieur, ou par omission, en espérant que la situation évolue dans le bon sens, un moindre mal. Mais ensuite, ce mal peut devenir chronique. Ne sachant pas comment s’en défaire, la personne peut entrer dans le cercle vicieux du syndrôme de l’imposteur, empreint de déni et de souffrance refoulée plus ou moins perçue par les autres.
Je partage ici mes ouvrages préférés ou d’actualité sur le coaching avec quelques notes de lecture et idées maîtresses sur l’utilité pratique pour clients et accompagnants.