Cette section regroupe quelques réflexions personnelles sur le coaching.
Pour préciser la perspective avec laquelle j’aborde le coaching dans ce blog, vous pouvez éventuellement commencer par un à propos de coaching
Certains auront pensé à la célèbre phrase “Culture eats strategy for breakfast” de Peter Drucker, ou la reprise de Marc Andreessen “Software is eating the world” (le même qui dit maintenant, que l’IA va nous sauver).
Par cet article, j’explore les besoins des individus comme source possible de ces constats globaux, conduit par la réflexion suivante : L’évolution culturelle et technologique est le résultat des comportements des personnes, et ces comportements la conséquence d’une motivation à répondre à leurs différents besoins.
En séance d’analyse de pratiques entre coachs, le sujet est posé par un participant:
J’ai le sentiment que je parle trop, que je ne laisse pas suffisamment la parole à mon client.
S’en suit un échange passionné et riche des expériences de chacun. Le silence fait parler.
Il aura eu le mérite de mettre en évidence les avantages et les inconvénients d’un manque de silence, pour le coach et pour le client.
Je m’intéresse depuis quelques années maintenant à l’ELEMENT HUMAIN de William Schutz. J’ai eu la chance de participer à quelques séminaires, j’ai lu le livre en partie, et bientôt j’assisterai aux 2 modules de formation dispensée par Karen Arman et Vincent Chaumerliac.
En guise de préparation, je révise et je précise ce que je compte approfondir et améliorer dans ma pratique de coach.
Début de réflexion sur les tensions à l’oeuvre à l’approche d’un moment crucial, ou ressenti comme tel par au moins un sujet.
Que faire de nos émotions ou sentiments divers quand on voit venir quelque chose qui cloche ?
En psychologie, ce cocktail a un nom : Ambivalence.
Sans être psychologue, nous pouvons réfléchir à plusieurs options.
Options à partir de la distinction “Sympathie” vs “Empathie” Garder pour soi C’est une option tant que l’on n’en a pas trouvé de meilleure, ou que les circonstances n’ont pas suffisamment évolué pour que l’on soit appelé à changer de comportement.
François Dupuy, dans son dernier ouvrage de la série Lost in management, nous décrit 2 outils de base pour décrypter ce qui se joue entre les acteurs d’une organisation. Il s’agit du sociogramme et de la grille d’analyse stratégique des acteurs.
Ces deux outils sont utiles et utilisables en particulier en phase d’analyse ou de découverte d’une organisation, pour identifier et mieux comprendre les comportements des différents acteurs. Il n’est pas nécessaire d’avoir une problématique clairement identifiée à résoudre, mais au moins une demande explicite d’un commanditaire d’investir sur la connaissance de l’organisation pour se donner des options plus éclairées des changements à opérer.
Pour commencer ma réflexion du jour, en tant que coach, j’ai besoin de répondre à une question un peu générale du style :
Comment changer ou aider à changer sans passer par la case humiliation ?
Comme pour la case prison au Monopoly, l’humiliation est souvent une sanction à une action, une punition plus ou moins justifiée et plus ou moins teintée de mal chance après un comportement qui a manifestement été remarqué.
En venant ici, vous vous attendez à apprendre quelque chose, sur le coaching, sur moi, et peut-être sur vous même. Même si l’interaction est limitée, je vous propose de répondre simplement à 2 questions:
Quelle définition du coaching recherchez-vous ?
Et quand vous l’aurez trouvée qu’adviendra-t-il ?
Ces deux questions sont aussi les questions que je me pose toujours de façon récurrrente, tant les réponses peuvent évoluer d’une situation à l’autre, et engendrer d’autres questions.
Le voyage du héros, est un concept introduit en 1949 par Joseph Campbell dans son célèbre livre “Le Héros aux mille et un visages”.
Pourquoi je m’y intéresse un parcours de coaching peut s’apparenter à un voyage dont le personnage principal, le héros, est le client. Pour beaucoup de personnes, même si elles n’en ont pas conscience, ou ne le voient pas (encore) de cette façon, leur parcours de vie est à bien des égards héroïque.
L’expérience collaborateur dans une entreprise n’est pas qu’un sujet RH.
Chaque équipe a une grande part de responsabilité sur la qualité des relations entre ses membres.
Le Management 3.0 offre l’illustration suivante sur les différentes étapes d’un parcours collaborateur et fournit des clés pour les rendre les plus profitables possibles pour le collaborateur comme pour l’entreprise.
Employee Experience - Mangement 3.0 Je m’intéresse particulièrement aux mouvements dans l’équipe, au reteaming et en particulier à l’Onboarding (On/Off Boarding et Agile Boarding même combat).
Parler d’approche appréciative en respectant l’esprit serait la moindre des choses. Je vais tenter de m’y employer dans cet article en acceptant une part d’interprétation subjective des sources de mon expérience.
Dans la forme et dans le fond, l’approche se veut résolument positive, et il convient donc d’employer une formulation positive.
Il s’agit ainsi d’éviter la comparaison caricaturale avec d’autres approches que vous auriez pu mettre en oeuvre avec des résultats variables selon votre propre perception.