Cet article a été écrit et publié spontanément, pour partager une idée et réflexion en cours, incomplète et imparfaite, livrée sans souci de délit d’imposture…
Le syndrôme de l’imposteur traduit bien souvent un type de souffrance au travail, exprimée par exemple par le sentiment récurrent et durable de ne pas être à la hauteur des attentes d’un poste ou d’un rôle dans une organisation quelconque. Ce sentiment peut naître d’une peur naturelle à évoluer dans un nouveau contexte incertain, d’une retenue à dévoiler aux autres ses compétences/expériences auto-jugées pas suffisament pertinentes, du relevé des écarts entre ce qui est écrit (un CV, des attendus de fiche de porte) et ce que l’on sait vraiment faire… Cela peut occasionner une dissonance, un mensonge intérieur, ou par omission, en espérant que la situation évolue dans le bon sens, un moindre mal.
Cette histoire reflète quelques séquences de mon dernier accompagnement qui m’a servie à la fois d’exemple pour illustrer les relations de don, et aussi d’introspection sur ma posture du coach à chercher la meilleure réponse à chaque situation, pour permettre à chacun et au groupe de trouver le chemin le plus rapide vers la performance et l’autonomie.
Voici le script extrait du livret sur le don de l’agilité radicale aux formations de Noël.
Cette semaine, je vais vous parler du MAUSS (Mouvement Anti-Utilitariste de Science Sociale), de Marcel Mauss qui l’a inspiré, dans son “Essai sur le don”, paru en 1925. Pour commencer, je précise que je ne connais précisément et directement aucun des 3, mais seulement au travers principalement de la lecture de l’ouvrage d’Alain Caillé, “Extensions du domaine du don” sous-titré par “Demander-Donner-Recevoir-Rendre”.
Le sujet est une vraie découverte (peut-être pour vous aussi ?
Alain Caillé est un des rédacteurs de la Revue du MAUSS, éponyme de Marcel Mauss, auteur du texte fondateur Essai sur le don.
Parmi les ouvrages de l’auteur dans mon ordre chronnologique de lecture
Extensions du domaine du don Notre première lecture et découverte d’Alain Caillé au Klub de lecture Agile Toulouse en 2019.
Le 2nd manifeste convivialiste, avec de nombreux co-auteurs Dans la suite du concept de Convivialité d’Ivan Illitch, nous découvrons un mouvement de pensée, fédérateur qui dépasse les clivages simplistes et destructeurs.