Cette section vise à parcourir des concepts, pratiques et réflexions sur l’agilité avec quelques thèmes de classement.
Pour préciser ce que j’entends par agilité, vous pouvez éventuellement commencer par un à propos d’agilité
L’agilité est guidée par des valeurs et des principes inscrits dans le manifeste agile. Il existe d’autres guides de comportements que certains ont adoptés comme un art de vivre, pour la vie personnelle comme pour la vie professionnelle.
Les Accords Toltèques sont ce genre de mantras, qui peuvent être portés personnellement sans que cela soit affiché dans le contexte professionnel.
A l’occasion cependant, leur évocation permet de sortir du cadre des principes habituels, agiles ou autres qu’une équipe est “sensée” respecter, et d’offrir une nouvelle perspective à ce qui est plus ou moins présent et utile au contexte.
Faut-il un track ou 2 tracks afin de séparer Design UX/UI et développement pour que ça aille plus vite ?
C’est une des questions principales qui m’ont été posées au démarrage d’une mission d’accompagnement d’équipes.
Une réponse générale indépendamment de la nature de l’activité Quelle serait l’organisation optimale des activités de design ux/ui si on demande aux designers eux-mêmes et aux développeurs ?
On risque de se confronter au même type de mur d’incompréhension que celui que devops tente de retirer entre des développeurs qui changent fréquemment leur code et des opérationnels qui veulent garder la maîtrise de la plateforme de production et ralentir la fréquence des changements.
20 ans après le manifeste agile, où en sommes-nous ?
Comment les organisations se sont approprié l’agilité ?
A quels signes pouvons-nous voir qu’une organisation est plus ou moins agile ?
Un moyen de le savoir est d’utiliser une liste de repères que constituent les fondamentaux de l’agilité et de les rechercher dans le paysage.
Servent-ils de guide pour nos décisions et nos comportements ?
Font-ils tâche dans le panorama de nos façons de travailler, de nous organiser aujourd’hui ?
Le prélude est un rituel inventé par Claude Aubry dont l’objectif est d’aider une équipe à se préparer à démarrer, avant de se lancer véritablement dans l’accomplissement de sa mission.
Le CARE, Canevas d’Alignement Radical de l’équipe, est la pratique-outil support au prélude pour l’aider à se poser les bonnes questions et pour bien commencer.
Je reprends ici quelques mots de l’auteur sur le Prélude pour les commenter en guise de mémento personnel et aussi les différentes étapes du CARE pour les compléter et les rendre actionnables, conviviales avec des exemples de questions à se poser en équipe et réponses possibles.
Cet article vise à répondre au besoin de considérer les différents acteurs d’un projet, avec deux utilisations concrètes pour moi en ce moment :
l’outil Fresque de l’agilité que nous proposons avec le collectif Agile Radical, fait apparaître de façon assez peu indifférenciée 3 ou 4 grands acteurs. Comment mieux en parler, et être inclusif pour considérer les externatlités des activités de l’équipe
l’outil Fresque de la RSE, fait lui aussi apparaître différents acteurs interagissant avec l’entreprise, avec une activité particulière autour des parties prenantes.
Chaque changement de composition d’une équipe a des répercussions plus ou moins positives mais généralement significatives sur l’ambiance de l’équipe, sur ses résultats, et donc sa performance.
Si la pratique commune des entreprises est de confier la responsabilité de ces changements à un ou plusieurs managers, pour garantir une certaine optimisation globale de l’occupation des ressources, il en reste pas moins le besoin d’anticiper et de penser les conséquences de changements de composition d’équipes avec elles, afin de préserver au mieux ou renforcer les dynamiques collectives existantes.
Dans le sillage de la fresque du climat, les fresques se multiplient dans tous les domaines d’activités aux impacts discutables sur l’environnement ou le social.
Une raison profonde de ce succès est sans doute le besoin de connaissances et de compréhension de problématiques complexes auxquelles nous sommes plus ou moins directement confrontés dans nos métiers et activités, afin de s’adapter au mieux à la situation. Au fond, il s’agit de “bien savoir” pour “bien faire” et répondre à ce besoin racine d’être agile.
Il n’est pas toujours aisé de parler de ses propres compétences selon la personne à qui l’on s’adresse. Le CV reste encore le support de base des discussions professionnelles pour faire matcher un besoin avec des compétences à travers l’exposé d’une liste d’expériences.
Mais ce modèle reste très linéaire, et ne répond pas aux besoins d’une actualisation et d’une sollicitation plus dynamique.
Pour ce qui concerne mon rôle de “coach agile”, qui fait appel à de nombreuses connaissances et compétences complexes (liées entre elles), une représentation cartographique peut être utile.
Le philosophe Elias Canetti (1905-1994) écrivait (source 1) que
l’être humain redoute plus que tout au monde le contact de l’inconnu, et que toutes les distances, tous les comportements qu’il adopte, sont dictés par cette phobie du contact.
En suivant cette idée, faire équipe, comme faire société, pourrait répondre au besoin de diminuer notre phobie du contact, en construisant une représentation du monde famillière avec des êtres et des choses familiers pour assurer un certain confort d’existence, à l’intérieur de bordures, de frontières naturelles ou idéologiques, plus ou moins visibles, mais toujours protectrices.
Kanban university publie “Le guide officiel de la méthode Kanban”.
Nous connaissions le guide Scrum et ses évolutions (la dernière date de fin 2020).
C’est maintenant au tour de kanban avec un guide de 15 pages colorées (éviter d’imprimer) traduit dans plusieurs langues.
Au sommaire La méthode Kanban et ses origines
la présentation des principes et pratiques générales (visualiser, limiter le wip, gérer le flux, expliciter les règles, les boucles de feedback, l’amélioration continue)